Publié le 21 avril 2009 par Frédéric Lordon
En ces temps de crise économique, il arrive, plus souvent qu’à l’accoutumée [1] (mais pas trop souvent, on s’en doute…) que des économistes critiques soient invités à s’exprimer dans les médias dominants. Que doivent-ils faire ? Comment, plus généralement, les contestataires peuvent-ils envisager leurs relations avec ces médias ?
Le Jeudi 5 février 2009, invité dans le cadre des « Jeudis d’Acrimed », Frédéric Lordon, après une intervention sur « Les médias et la crise » (que l’on peut découvrir ici même en vidéo) répondait aux questions de l’assistance.
En prenant pour exemple son expérience, en tirant quelques leçons de celle-ci, en s’interrogeant de façon plus générale sur l’opportunité de chercher à accéder aux médias dominants (et sur les conditions à poser pour répondre positivement à des invitations), il proposait quelques réflexions à partager (Acrimed)
br>
br>